MENU Le Forum Vive les rondes Connexion

Le sport à l'école, école de l'humiliation ?

46 ans (¯`•.•´¯) (¯`•.•´¯) *`•.¸(¯`•.•´¯)¸.•´ ♥ ☆ º ♥ `•.¸.•´ ♥ º ☆.¸¸.•´¯` 1576
http://www.rue89.com/r...-vecu-dans-lhumiliation-236663

Votre avis ?
Comment perceviez-vous les cours d'EPS à l'époque ?
Pour celles et ceux qui n'aimaient pas le sport à l'école, avez-vous appris à l'apprécier après ?

A  
vos claviers ! :)
R
39 ans 15384
Je n'ai jamais aimé le sport! Bon en 3eme,seconde j'étais dispensée ( cause problèmes de santé ),mais avant ça,je détestais ça...
Déjà,je n'ai aucune endurance,et les exercices style courir autour de l'école pendant 20 minutes,sans aucune pause autorisée = cauchemar :roll: ...
Je tenais tout juste un tour!
Je n'ai même jamais eu un seul prof compréhensif,j'avais beau être essoufflée a crever,assoiffée,en sueur : il fallait continuer,sinon ca allait des simples remontrances,aux hurlements voire aux heures de colle! Donc oui pour moi une véritable humiliation,surtout que les élèves n'étaient pas tendres non plus :?
Combien de moqueries,de regard de travers parce que je "faisais perdre" lors des sports d'équipe!
La seule activité que j'aimais bien,ca a été badminton,en 5eme je crois mais ca n'a duré que 3 mois...

Aujourd'hui j'aime pas non plus,mais la natation,l'équitation,la marche,ca passe,j'aime bien.
40 ans 221 Baker Street? 182
Moi je n'aimais pas du tout les cours de sport à l'école, l'enseignant me faisait penser à un sergent-instructeur avec ses coups de sifflet et tout :shock: et super misogyne en plus... J'aimais pas le fait que ça soit en équipe aussi... Je commence seulement à apprécier le sport aujourd'hui car je trouve que quand je n'en fais pas pendant quelques jours d'affilés je me sens mal physiquement (+ stressée, digestion moins bonne,manque d'énergie etc)

Je dois dire que si un jour j'ai des enfants par contre (sait-on jamais lol) je les initierais tôt au sport pour que ça soit quelque chose de naturel pour eux.
40 ans 221 Baker Street? 182
AnnelieseCitation:
Je n'ai même jamais eu un seul prof compréhensif,j'avais beau être essoufflée a crever,assoiffée,en sueur : il fallait continuer,sinon ca allait des simples remontrances,aux hurlements voire aux heures de colle!

+1!
Les miens aussi ça a toujours été des enf...és lol :x
46 ans 2032
Intéressant, l'article !!

Le sport à l'école mon Dieu que de bons souvenirs :roll: J'étais pas complètement nulle, mis à part pour l'endurance ou là c'était la cata, j'attends encore le jour où courir en rond pendant 30mn sera nécessaire à ma survie hein, soit dit en passant.

Non le pire c'était d'être choisie en dernier pour les équipes. A chaque fois, sous les rires, et pas un connard de prof pour essayer d'arranger les choses. En fait je crois qu'ils aimaient ça. Mon père était le principal, c'était leur petite vengeance à eux.

Mais bon, dans mon cas, l'humiliation j'y avais droit en cours et à la récré aussi, donc à part la tenue ça ne changeait pas grand chose.
35 ans Dans le sud ;) 5608
J'ai toujours été nulle en sport à l'école, mais jamais humiliée pour autant. Je détestais en faire, tout comme la plupart des filles l'endurance était ma bête noire, et d'ailleurs je pense que c'est une aberration totale parce que pour pouvoir apprendre à courir, il faut y aller par pallier : course/marche/course/marche, en diminuant à chaque fois les temps de marche et pas seulement balancer des élèves sur un stade en leur disant " courrez 20mn et NE MARCHEZ PAS ! " :roll:

Depuis par contre j'ai beaucoup appris à aimer le sport et maintenant quand je dois en faire je le pratique avec plaisir
32 ans Haute-patate... 135
Je détestais le sport, autant au collège qu'au lycée !

Ça commençais déjà aux vestiaires ! Se changer devant tout un groupe de filles plus fines les unes que les autres, ça n'a jamais été une partie de plaisir ! Surtout à l'adolescence, je me souviendrai toujours de l'humiliation qu'a vécu une camarade de classe, elle avait quelques vergetures sur les hanches, une fille de la classe ( une des plus "populaires" ) les a remarqués, et les a fait remarquer à tout le monde, la fille a donc subit une 15aine de regards posés sur elle et des 10aines de remarques toutes plus méchantes les unes que les autres !

Au lycée une prof nous forçait à prendre une douche ( ok c'est normal pour l'hygiène et tout et tout mais moi j'étais externe et les cours de sport étaient de 10h à 12h j'aurais préféré me laver chez moi entre midi et deux !) Les douches étaient communes bien sûr...

Sinon maintenant à part la marche, la piscine je ne suis toujours pas une fan du sport :)
38 ans Orgrimmar 6511
J'ai eu quelques mauvaises expériences avec des profs de sport mais je n'ai jamais ressenti de volonté d'humilier de leur part. Par contre, de mes camarades, oui. Envers moi car j'étais maladroite, mais aussi envers la fille qui a des gros seins, le petit gros...
Après, ça ne m'a pas fait du mal, peut-être parce que c'est dans mon caractère, au lieu de me faire rabaisser, je fonce dans le lard. Donc, oui, il y a eu des tentatives d'humiliation, mais pas de la part des profs, et, oui, elles n'ont pas abouti parce qu'à l'époque, j'étais forte dans ma tête.

L'article est intéressant mais je trouve qu'il met en avant la faute des profs, alors que, de mémoire, les plus durs, ça a été toujours les élèves.

J'ai quelques petites anecdotes qui reviennent, qui pourraient incriminer des profs un peu cons, mais au final ce sont les mêmes qui m'ont encouragée à donner plus, à partager, et qui m'ont aidée à connaître mon corps.
Ils ne m'ont pas dégoûtée puisque malgré ma maladresse j'ai fait STAPS.

1ere anecdote: j'adorais courir, l'endurance c'était mon kiff. Je ne faisais pas d'effort, c'était un peu dur au départ mais après j'avais l'impression de voler. (d'ailleurs, les profs que j'ai eu ont toujours dit qu'on s'arrêtait quand on n'en pouvait plus, mais qu'il fallait un peu se donner quand même). Sauf que, jour de la notation, j'ai oublié mes affaires de sport^^ La prof me dit, vicieuse: "ah c'est dommage, je vais être obligée de te mettre zéro", alors qu'à tous les autres cours j'avais couru 20 minutes sans souci. Bah je lui ai rétorqué: pourquoi? Je vais courir comme ça! Et donc j'ai fait mes 20 minutes en docs et jean :lol: Elle a été obligée de me mettre 20 huhu.(Mais pour dire que c'était pas spécialement une salope, elle m'a félicitée pour ma persévérance :) double victoire pour moi).

2e anecdote: quand j'annonce à mon prof d'EPS de terminale que je vais faire STAPS et qu'il me regarde les yeux ronds en me disant un truc du style: mais tu sais qu'il faut être bon en sport? lol. Ca m'avait vexée sur le coup, mais j'étais retournée le voir après ma 1ere année réussie haut la main pour lui prouver que j'en étais capable. Par ailleurs c'était un prof adorable qui encourageait les élèves et qui préparait beaucoup ses cours histoire que nous fassions des exercices variés. Ah oui, et il nous montrait TOUJOURS l'exemple, et faisait tout l'échauffement avec nous.

3e anecdote: 3e année de STAPS, gym, ma matière haïe, dès que je ne touche plus le sol je n'ai aucune perception de mon corps dans l'espace, je suis une vraie quiche et en plus j'ai peur. Bref, le prof voyant que je galère préfère s'occuper de ceux qui réussissent, je pleure toutes les semaines après le cours car je me sens nulle et qu'il m'ignore complètement alors que j'aurais besoin d'aide et que je fais des efforts.
Et bien, à la notation, où on doit faire un enchaînement de figures, j'ai fait ma rebelle, j'ai pas voulu y aller. Il me dit que s'il ne peut pas me noter, il me manquera un truc dans le bulletin ce qui fera que je n'aurai pas mon année.
Alors je lui fais une pitoyable roulade avant, reviens vers lui et lui dis: voilà, après votre magnifique enseignement, je ne sais faire que ça.(j'ai un peu exagéré, je savais faire 2-3 autres trucs mais je voulais faire ma butée).
Il m'a dit, l'air pitoyable et piteux, qu'il était obligé de me mettre zéro. Je lui ai dit d'y aller, le zéro n'étant pas éliminatoire s'il était rattrapé par d'autres notes.
Et il m'a mis 2, finalement^^
Et j'ai eu mon année... Avec mention ;)
Je tiens à préciser que c'était un très bon prof de cours magistraux, il les faisait vivre, nous faisait participer... Et un très bon gymnaste. Mais pas un bon prof d'EPS, ça non.

En gros, je comprends celles qui sont mal tombées, mais il n'y a pas QUE des méchants profs faignants et qui veulent du mal à leurs élèves surtout s'ils ont un gros cul.
J'ai d'ailleurs le souvenir d'une autre prof, qui m'avait consolée parce que je pleurais de ne pas y arriver au volley, et qui m'avait dit en gros de ne pas me comparer aux autres, mais de comparer moi avant, et moi maintenant.
Si ça c'est pas un bon prof...

Maintenant, ça me manque. Je vais faire du bad dès la semaine prochaine, histoire de recommencer doucement. Mais il me tarde de me sentir à nouveau tonique et soupe :)
46 ans (¯`•.•´¯) (¯`•.•´¯) *`•.¸(¯`•.•´¯)¸.•´ ♥ ☆ º ♥ `•.¸.•´ ♥ º ☆.¸¸.•´¯` 1576
Citation:
Amaëlle s’est mise au sport tard. De l’école, elle regrette un enseignement « à base de performance et de notes » et elle se souvient du moment (horrible) de la constitution des équipes. Quand le prof demande aux deux meilleurs de la classe de devenir capitaines.

« Ils appellent un à un, à tour de rôle, les gens de la classe. À la fin, il reste toujours deux ou trois personnes, dont toi. »

Ça je l'ai vécu.

Comme j'étais nulle en sport je me retrouvais toujours parmi les dernières à être choisie dans une équipe.
C'était vraiment humiliant.
Je détestais les profs qui prenaient toujours les meilleurs en sport pour constituer les équipes alors que s'ils l'avaient fait eux-mêmes sans prendre les élèves dans un ordre précis (au lieu de prendre du meilleur au plus nul), ça aurait évité une humiliation pour les élèves comme moi.

J'ai très souvent vécu les cours d'EPS comme une humiliation au point que ça ne m'a pas du tout aidé à aimer le sport.
C'est le cours que je détestais le plus à l'école au point parfois que ça me donnait des maux de ventre rien qu'à l'idée d'aller à ce cours.
En plus il y avait toujours des élèves pour se moquer, vous rabaisser sous prétexte que vous n'aviez pas le physique d'un(e) sportif(ve) et les performances qui vont avec.

Dès le collège j'avais déjà une forte poitrine et je ne l'ai jamais autant détesté qu'à l'adolescence car j'avais l'impression qu'on ne voyait que ça surtout quand je courais.
En plus comme ma mère ne m'achetait jamais de soutien-gorge à ma taille, j'étais obligée de porter ceux qu'elle ne portait plus. Elle faisait un 85B alors que moi je dépassais déjà les 95C à l'époque. Bref ça débordait tout le temps et j'étais souvent obligée de replacer correctement le soutif surtout après avoir couru.
Ma mère non plus ne m'a pas facilité les choses à ce niveau-là. :roll:

Quand j'ai fini le lycée, j'ai vraiment eu le sentiment d'avoir été libérée d'un boulet.
Enfin plus personne ne m'obligerait à assister à un cours de sport pour me faire humilier.
38 ans Orgrimmar 6511
Ah et je tiens à dire que quand il m'a été donné de faire cours d'EPS à des collégiens et des petits de l'école primaire, j'ai toujours fait en sorte que toutes les humiliations soient retournées contre celui qui le disait (ce n'est pas la meilleure des solutions, bien évidemment, mais à l'époque je ne savais pas comment le gérer sans pour autant vouloir le laisser passer. Et je leur montrais bien que ça faisait mal, et que donc, en gros, si tu voulais pas que ça te revienne dans la tronche, tes remarques tu te les gardais).
J'ai eu à faire à des filles qui étaient dispensées toutes les semaines, et qui râlaient quand je leur demandais de participer à l'installation, à l'arbitrage.
Franchement, j'ai eu envie de les tarter. Au lieu de ça (je risquais cher en même temps^^) j'ai appris à les connaître, à savoir pourquoi elles ne voulaient pas faire de sport (parce que, oui, c'étaient des excuses bidon faites par des médecins complaisants).
Et au final, il y en a une qui se proposait d'elle même de m'aider, et elle m'aidait aussi à rétablir l'autorité en gueulant avec moi (lol). Et l'autre... Ben, la semaine d'après je l'ai vue arriver en jogging.
D'y repenser ça me fout presque les larmes aux yeux. Je sais, c'est super con. Mais elles étaient adorables, et qu'elles m'aient fait confiance je trouve ça trop trop bien.

Malheureusement, pour être prof d'EPS à l'heure actuelle, il faut surtout être une bête (mais une vraie) en gym, natation, et athlétisme.
Ca m'aurait plu, comme boulot. Franchement. Mais c'est IMPOSSIBLE.
46 ans (¯`•.•´¯) (¯`•.•´¯) *`•.¸(¯`•.•´¯)¸.•´ ♥ ☆ º ♥ `•.¸.•´ ♥ º ☆.¸¸.•´¯` 1576
Mademoiselle_bulle a écrit:

Au lycée une prof nous forçait à prendre une douche ( ok c'est normal pour l'hygiène et tout et tout mais moi j'étais externe et les cours de sport étaient de 10h à 12h j'aurais préféré me laver chez moi entre midi et deux !) Les douches étaient communes bien sûr...

Il y avait aussi des douches communes dans les vestiaires mais si ma mémoire est bonne je ne me souviens pas avoir vu ne serait-ce qu'une seule élève les utiliser.
Si par chance le cours était en fin de journée ou le mercredi en fin de matinée, par pudeur on préférait attendre de pouvoir se doucher à la maison.

Sinon, on avait trouvé une utilité aux douches de vestiaires.
Quand nous avions cours d'EPS en dernière heure le mercredi matin, une fille de la classe était choisie et entraîné sous la douche avec ses vêtements de sport.

Comme j'étais pudique (je le suis toujours d'ailleurs) et complexée par mon corps (c'est encore le cas actuellement), je préférais me changer dans les wc des vestiaires.
R
39 ans 15384
D'ailleurs,je suis maintenant contre l'EPS systématique... Ca devrait etre une option plutôt que plomber bêtement la moyenne des élèves pas doués :?
38 ans Orgrimmar 6511
Je suis totalement contre ta suggestion!!!!

Tant qu'à faire autant arrêter les maths pour les pas cartésiens, le français pour les mauvais en orthographe... L'EPS apporte aussi des connaissances et des savoir-faire/savoir-être utiles pour la suite de notre vie, elle a sa place parmi l'enseignement obligatoire j'en suis plus que persuadée, au même titre que les langues, les sciences, les activités artistiques.
Bien enseignée, elle transmet des valeurs très importantes que beaucoup de matières autres ne mettent pas du tout en exergue, comme le respect de l'autre dans ses différences, le travail en coopération, etc.

D'autre part, l'EPS aide aussi certains élèves peu confiants en leurs capacités intellectuelles à se sentir pas si mauvais que ça, ce qui rétablit un certain équilibre finalement.

Enfin, c'est plutôt le système de notation qui devrait être changé. Effectivement, il faudrait noter plus les progrès individuels que la performance en elle-même. Mais ça, dans toute les matières, selon moi...
40 ans 5932
Ah le sport à l'école... Horreur, malheur. Quoi qu'il arrive, c'était pour ma gueule.

Piscine : J'avais très peur de l'eau. Tiens, si on l'engueulait parce qu'elle ne va pas assez vite. Tiens, si on lui collait les flotteurs histoire qu'on se moque encore plus d'elle. Ouais ben ça m'a pas aidée, tout ça. Et en plus on me donnait des notes pitoyables alors qu'on aurait mieux fait de noter ma persévérance et mon envie d'y arriver quand même, ça aurait été plus juste.

Endurance : Personne ne s'est jamais soucié des douleurs au coeur que je ressentais. Il a fallu attendre l'âge adulte pour qu'on comprenne que ce n'était pas un "caprice", une "envie de s'économiser", un "mensonge", et tout ce que j'ai pu entendre à chaque fois, et qu'un médecin m'interdise formellement de courir.

Gym : Non, le vertige n'est absolument pas honteux. Il n'y a pas lieux de coller la honte à un élève parce que les barres asymétriques ou la poutre lui fichent la trouille. Faut pas déconner. Et puis ça donne des munitions aux autres élèves pour se montrer cruels.

Saut en hauteur, badminton, volley et sprint : Les autres élèves me considéraient comme la petite grosse, monstrueuse, (bon, en vrai j'étais "normale") alors ils n'appréciaient pas trop que je sois meilleure que la plus part d'entre eux et ils m'en faisaient baver.

Basket : Bo***l il y a des règles ! Je faisais partie d'une association, j'y étais très investie, et je jouais aussi, alors j'étais très bien placée pour me rendre compte qu'on faisait vraiment n'importe quoi en cours. Et que les équipes étaient formées d'une façon qui défiait toute logique. Forcément, je n'arrivais pas à m'y détendre. Ça m'énervait plus qu'autre chose, et je peinais à y trouver mes marques pour y jouer correctement.

Bref, les profs de sport que j'ai connus et moi on n'est pas très copains. Psychologie, zéro. Intelligence, pas très loin du zéro aussi. Connaissances, tant à propos du corps humain que des sports enseignés, largement insuffisantes. Bref, au secours, quoi. J'espère que les jeunes ont des profs bien plus compétents maintenant.
Quant aux élèves, qui sont bien cruels entre eux, malheureusement ça n'a pas trop changé. Je travaille à proximité d'un lycée, et ils sont assez bruyants pour qu'on sache avec précision ce qu'ils se racontent et, au secours ! La cruauté est toujours de mise.
R
39 ans 15384
Les maths perso ca m'a plombé ma moyenne aussi. D'ailleurs beaucoup de profs sont pour en faire une option,OUI il y a des élèves pas faits pour ça. Je HAIS les maths,c'est pas du tout mon truc,je suis littéraire a 100.000%...
C'est simple je passais l'heure de maths angoissée devant ma feuille,sans rien comprendre.
En quoi c'est utile les formules de pythagore ou le théorème de Thalès? :shock: Ok les bases je veux bien,les trucs compliqués du lycée,euh non de chez non et je sais que beaucoup sont d'accord avec moi.
Oui a partir d'un certain niveau de difficulté ca devrait être optionnel.

Le sport et les maths m'ont fait savoir que j'étais nulle a chier,incapable,bonne a rien,c'est la seule leçon retenue.
B I U