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Le sport à l'école, école de l'humiliation ?

40 ans 221 Baker Street? 182
C'est vrai que le sport ça devrait être une option (et même l'art plastique et pourtant Dieu sait que j'avais des bonnes notes en arts :D )

L'école  
c'est un service de garde pour les enfants plus grands (mais toujours mineurs). C'est une "fabrique" à bons petits citoyens où on nous enseigne la notion "d'horaire", la soumission à un supérieur hiérarchique, où on nous enseigne notre place dans la société.
Il y a une "matière" à faire entrer dans le crâne des élèves et un temps impartit pour la faire entrer... Ce n'est pas MA vision de la connaissance ni de l'apprentissage.
Heureusement l'Université ce n'est pas exactement la même chose sinon je n'y serais pas encore aujourd'hui (même si les Universités non plus ne sont pas parfaites!)
L'école (pour les mineurs) devrait servir à développer une curiosité, une soif de connaissance, un plaisir d'apprendre. Pas un sentiment de compétition, de dévalorisation et d'angoisse (stress des examens).
Jamais ou presque les professeurs ne nous demandaient de faire des petit travaux de recherche (quand ça arrivait c'étaient de véritables petits bonbons, des oasis sur la plaine sèche de cette endormante matière enseignée.
Je ne crois pas que c'est pas la faute des professeurs! C'est la "machine" qui est mal foutue.
À quand un enseignement holistique?
Notre pensée n'évolue pas au même rythme que notre technologie... Les technologies se développent à toute vitesse alors que les réformes nécessaires elles sont ignorées. Nos priorités ne sont pas à la bonne place (à mon avis).
38 ans Orgrimmar 6511
Tu te contredis, dans un enseignement holistique, les activités physiques et artistiques auraient aussi une place. Non?

C'est étrange comme je ne vois pas du tout la scolarité que j'ai eue comme telle que tu la décris (je dis ça sans animosité aucune).
Personnellement j'acceptais "l'autorité" des profs, parce qu'ils m'apprenaient, qu'ils me nourrissaient intellectuellement. Pas parce qu'ils étaient des supérieurs hiérarchiques. J'ai toujours été très curieuse, et respecté les "vrais" profs, justement ceux qui nous font avancer et pas ceux qui régurgitent du réchauffé. Les "bonbons", ils nous en donnaient plein, ils nous tendaient souvent la perche mais peu la saisissaient.
Les autres... Et bien, j'étais à la limite de l'insolence, oui. Mais en y réfléchissant, je n'en ai pas eu tant que ça entre le primaire et le lycée.

Peut-être parce que j'ai eu de la chance, et que je suis quelqu'un qui s'adapte facilement tant qu'on a du respect pour ce que je suis (ce que les profs avaient, forcément j'étais bonne élève qui participais et m'intéressais ;) ) je veux bien le croire.

Mais comprenez que j'ai un peu de mal du coup à faire des généralités qui vont dans votre sens.
Ca n'a pas été MA réalité (sauf en BTS mais ça c'est une autre histoire).

Et d'un autre côté, il ne faut pas l'oublier, il y a quand même des enfants ou des ados qui détestent les cours, mais qui vont encore plus détester qu'on leur donne du travail de recherche parce qu'il faut réfléchir, et pas seulement ingurgiter.
Il y a des enfants ou ados qui ne font aucun effort pour s'adapter. Je ne parle pas ici de ceux pour qui l'enseignement actuel ne convient pas du tout, qui lâchent en cours de route pas par manque de motivation mais par incompréhension d'un système qui va à l'encontre de leur façon de se développer, mais des "autres", que j'ai pu rencontrer dans ma scolarité.

Entendons nous bien: le système éducatif français est à revoir, clairement. Mais il n'y a pas que du mauvais, que des vilains profs qui font la course au programme.
Et peut être que l'Université t'a offert ce que tu souhaitais comme enseignement MissH (j'ai adoré aussi, d'ailleurs ;) ), mais comprends que ça ne marche pas pour tout le monde, il y a des jeunes gens par exemple qui ont BESOIN d'un cadre, d'horaires fixes, pour avancer.

Bah, je crois que c'est pareil pour l'école. Actuellement, le système convient bien à une partie des élèves. Et si on change radicalement de système, une autre catégorie d'élèves sera perdue.

Le mieux, dans un monde utopique, serait d'avoir le choix (ou alterner?) entre plusieurs modes d'apprentissage.

Bref, on n'est pas dans la mierda :)

(je précise que j'ai été en privé jusqu'au CM1, et ensuite en public, et que j'ai largement préféré le public ;) )
49 ans région parisienne 5831
Yuutsu a écrit:
C'est étrange comme je ne vois pas du tout la scolarité que j'ai eue comme telle que tu la décris (je dis ça sans animosité aucune).
Personnellement j'acceptais "l'autorité" des profs, parce qu'ils m'apprenaient, qu'ils me nourrissaient intellectuellement.

(...)

Et d'un autre côté, il ne faut pas l'oublier, il y a quand même des enfants ou des ados qui détestent les cours, mais qui vont encore plus détester qu'on leur donne du travail de recherche parce qu'il faut réfléchir, et pas seulement ingurgiter.

(...)

Bah, je crois que c'est pareil pour l'école. Actuellement, le système convient bien à une partie des élèves. Et si on change radicalement de système, une autre catégorie d'élèves sera perdue.


+1! (j'ai un peu coupé ton post, pour faire plus court, mais je suis d'accord avec l'ensemble du post ;) )
49 ans région parisienne 5831
MissHolmes a écrit:
C'est vrai que le sport ça devrait être une option (et même l'art plastique et pourtant Dieu sait que j'avais des bonnes notes en arts :D )


Perso, je ne pense pas que le sport et l'art plastiques devraient être des options... D'ailleurs, ça m'amène à me poser la question: "mais sur quels critères décider que tel ou tel truc devraient être des options?".

Pour moi, le sport, c'est la base de la connaissance de son corps et aussi du bien être physique. Après, c'est sûr qu'au vu de ce que certaines racontent, l'enseignement du sport n'est pas toujours fait correctement, mais c'est un peu le cas dans toutes les matières, je pense... Le sport tel que moi je l'ai vécu à l'école, en tous cas, c'était vraiment une bonne chose, je trouve ça indispensable à un bon épanouïssement.
39 ans 3267
Je vais aussi prolonger le débat, connaissant un peu le sujet: qi l'enseignement secondaire devient des options au choix dès le collège, qui choisira les options? Je ne suis pas sûre qu'un élève de collège soit assez mûr ou au moins ai assez de recul, ils fonctionnent souvent à l'affectif ( le prof m'aime pas/j'aime pas le prof=j'aime pas la matière) ou à la facilité ( ça a l'air facile là, oulà ça se complique, j'arrêt!), certains élèves ont la maturité, le recul et parfois un projet, mais c'est rare ( mes collégiens m'appellent encore maman parfois, m'apportent des dessins... ) . Les parents? Là aussi c'est compliqué: entre les désirs du parent ( La littérature ça mène à rien, les maths à tout! Faire allemand? Tu feras de l'espagnol, avec l'Amérique du Sud ça te servira plus!), leurs enjeux et leurs attentes ça risque d'être compliqué.
60 ans 91 25732
Je vois que l'enseignement du sport n'a pas vraiment évolué... :? :roll:

Je ne suis pas d'une famille de sportifs du tout et je n'ai jamais vraiment aimé le sport, sauf la natation que je pratique depuis l'âge de 5 ans et que j'adore.

Mais à l'école ou au collège, rien n'a jamais été fait pour me faire aimer le sport, mais alors rien ! :evil:

Je me souviens encore du "il est marron le plus lent et le plus gros cul de tout Camus" de mon prof de gym en 6e (le seul short marron, c'était le mien :evil: ), je me souviens aussi de "l'endurance" où je finissais parfois par vomir tellement je me sentais mal et là on me disait "mais il ne fallait pas forcer !" alors que chaque fois qu'on osait ralentir ou pire, s'arrêter pour souffler, on se faisait engueuler. :evil:

Même la piscine où j'allais avec tellement de plaisir, devenait un calvaire lors des cours, avec les moqueries des profs, les obligations de sauter de ce putain de plongeoir de 3 m où j'avais une trouille bleue à cause du vertige. :evil:

Et puis pour moi les cours de sport restent avant tout un flou artistique complet, étant donné que "pour des raisons de sécurité" le port des lunettes de vue était interdit. Or je suis myope comme une taupe. On fait comment pou choper un ballon étant donné que le seul moment où on le voit, c'est quand on l'a dans la figure ? On fait comment pour marcher sur une poutre qu'on ne voit pas ? On fait comment pour suivre les instructions du prof quand on voit juste un machin qui s'agite et encore ? Mais non c'était ma faute, j'exagérais parait-il, ce n'était pas possible que j'y voie aussi peu ! :evil: Et je ne vous raconte pas les migraines à chaque cours puisque je forçais pour essayer de voir un peu.

Heureusement en classe de 4e, un ballon de handball a choisi mon oeil droit comme cible et j'ai eu une belle hémorragie qui m'a dispensée de sport jusqu'à la fin de ma scolarité. Je n'ai jamais insisté pour qu'on me redonne l'autorisation d'en faire, ça a vraiment été une délivrance.

Alors pour moi oui, le sport à l'école a été l'école de la bêtise, de l'humiliation et jamais je ne voudrais revivre ces cours de gym qui m'ont dégoutée du sport.

Je me demande même comment je fais pour aimer toujours nager, si je n'avais pas appris bien avant, avec des maîtres nageurs compétents, je suis certaine que j'aurais détesté la natation aussi.

J'espérais que ça avait changé, mais pas vraiment... :?
38 ans Orgrimmar 6511
Pas droit aux lunettes??? :shock:
Moi qui ai -10 dioptries à chaque oeil, je compatis vraiment. Tu m'étonnes que tu étais "nulle"... Même pour courir, ne pas voir où on va et sur quoi on court peut être très angoissant et handicapant!
C'est quoi ce prof àlacon encore?
51 ans à la maison ! 10072
Yuutsu a écrit:
Pas droit aux lunettes??? :shock:
Moi qui ai -10 dioptries à chaque oeil, je compatis vraiment. Tu m'étonnes que tu étais "nulle"... Même pour courir, ne pas voir où on va et sur quoi on court peut être très angoissant et handicapant!
C'est quoi ce prof àlacon encore?


Patty est "vieille" (pas taper !), ça ne doit plus exister, ça... maintenant il y a les assurances scolaires pour la casse des lunettes...

Pour le choix des "options", j'ai choisi italien en 2nde langue parce que l'allemand c'était moche et que ma copine était italienne... je ne suis pas sure que j'aurai choisi les autres options avec plus de discernement...
39 ans 3267
Je ne sais pas ce que font les collègues, mais il ne faut pas oublier que le prix et l'assurance ne sont pas le seul problème si les lunettes sont cassées sur le visage... Mais je n'ai pas souvenir qu'on obligeait les élèves à les enlever quand moi même j'étais élève.
60 ans 91 25732
Mais même pour les vieilles il y avait déjà les assurances scolaires casse pour les lunettes ! ;) :lol:

Non c'était interdit c'est tout, de même qu'en primaire le port des lunettes était interdit pendant les récréations, toujours pour ces fameuses "raisons de sécurité", c'est vrai qu'à mon époque les verres de lunettes étaient en vrai verre, pas en verre organique, ça cassait facilement et en petits morceaux bien dangereux... :roll:
38 ans Orgrimmar 6511
Maintenant le verre organique (donc en résine, une sorte de plastique) est OBLIGATOIRE pour les mineurs.
111 ans Sous la neige au fond à droite 7534
J'ai tout lu et j'ai le cafard :lol:.
111 ans 3096
Ah les cours d'EPS... ou la parfaite définition de l'enfer pour moi.

J'ai toujours été nulle en sport. Vous voyez la nulle qui essaye de se planquer pour ne pas faire les activités ? Bah c'était moi.

Dans mes premiers souvenirs de sport, il y a ce gymnase dégueulasse dans lequel on étendait des tatamis puants. On faisait des trucs de gym et du judo. J'ai toujours détesté le contact physique, ça m’écœurait de devoir me bastonner avec les autres et de me prendre leurs pieds dans la figure.

Ensuite j'ai les souvenirs de balle aux prisonniers qu'on faisait en primaire. Je HAIS les balles. J'étais sacrément douée pour les éviter, j'étais toujours dans les derniers à être touchés. Mais bon je me faisait quand-même engueuler parce que je n'essayais pas d'attraper la balle pour toucher les autres.

Et puis il y a eu les années collège. Mon surnom c'était "Grosses cuisses", ça donne une idée de l'ambiance (et pourtant qu'est-ce-que je ne donnerais pas pour retrouver mes cuisses de l'époque !). J'étais toujours la dernière choisie quand on faisait les équipes. Personne ne voulait de moi et ça ne me donnait pas franchement envie de faire des efforts pour m'améliorer. Pourquoi essayer de faire plaisir à une bande de cons ? Je les haïssais. Je me souviens de la fois où la prof m'a choisie comme cheffe d'équipe. Je crois que j'étais encore plus mal à l'aise que quand j'étais la dernière choisie tant je voyais à quel point ceux que je "choisissais" étaient ravis d'être avec moi. Pour les sports avec des balles (toujours ces foutues balles), on me mettait toujours dans les buts. Très bon choix de mettre quelqu'un qui a peur des balles dans les buts hein ?? Bref, je me mettais toujours à côté de la cage (au moins ça m'évitait de courir) et je me faisais gentiment engueuler quand l'équipe adverse marquait. Il y a eu le saut en hauteur aussi, un grand moment quand on se met en file indienne et que toute la classe vous regarde vous vautrer. Au passage un petit big up à la prof qui m'a forcée à essayer de récupérer ce mannequin pourri au fond du grand bassin. Pour une fois que je n'étais pas dans le groupe des nuls en plus... Mais bon j'ai pas réussi à le chopper son mannequin !

Au lycée ce n'était pas mieux. J'ai quand-même réussi à me faire dispenser d'accrogym par un médecin véreux. Ça me rappelait trop le judo sur les tatamis pourris, en plus comme j'étais la grosse je ne pouvais qu'être en bas des pyramides. Je ne remercierai jamais assez ce médecin ! En 2nde il y a eu aussi l'endurance. Bah j'étais mauvaise hein, comme pour tout le reste. Pourtant le jour de l'évaluation j'ai couru les 20 minutes comme tout le monde. Ok, j'avais parcouru moins de distance que la moyenne et j'étais pas très régulière. Je me souviens quand-même qu'à l'un de mes passages une bande de mec a rigolé et le prof leur a dit de se taire. Je n'ai jamais su ce qu'ils avaient dit mais j'en imagine facilement la teneur. Au final j'ai eu 2/20. J'ai couru 20 minutes avec mon 95D ballotant et j'ai eu 2/20. Si l'EPS doit apporter quelque chose, ce n'est sûrement pas le goût de l'effort et du dépassement de soi. Et puis il y a eu le bac... un grand moment. Alors déjà pour le 3 fois 500 j'ai eu de la "chance", le prof avait pitié de moi et a récupéré un barème pour la marche... mais bon j'étais nulle quand-même ! Et j'avais bien mal aux chevilles.

Mon dernier cours de sport c'était l'évaluation de volley ball du bac. Evidemment je me suis foirée mais j'étais tellement heureuse de ne plus remettre un pied dans un gymnase ! 4/20 au bac, clap de fin. (et j'ai quand-même eu ma mention bien, na !)

Bref, je HAIS le sport. Ce n'est pas tant les profs qui m'ont fait souffrir, mais plutôt les autre élèves. Je regrette de ne pas avoir eu les mots à l'époque pour dire à quel point je me sentais mal. J'aurais tellement aimé les envoyer se faire voir...
40 ans 221 Baker Street? 182
Pour moi un enseignement holistique (pas seulement le corps et l’esprit mais aussi les émotions) tenterait de prendre en compte le fait que chaque individu est différent… Et le « système » scolaire fait tout le contraire, la plupart du temps il généralise, ce qui est bon pour un doit être bon pour les autres (même sauce appliquée à tous) etc… Aussi, selon moi on ne doit pas forcer quelqu’un à faire avec son corps ce qu’il ne désire pas faire… c’est la base même du respect.
Également, ce qui est mis à l’avant plan dans les cours de sport c’est la compétition, les résultats et bien peu tout compte fait le bien-être à travers le sport et le plaisir. Sinon on laisserait les élèves choisir ce qu’ils veulent faire (comme sport), et seule la participation en classe serait notée. Et pourquoi pas du yoga? Non mais, me forcer à faire du football américain… je ne le prends pas lol :o C’est un sport complètement aux antipodes de ce que je suis.
Perso aujourd’hui j’aime bien le sport mais c’est loin d’être en raison de ces cours…
Après il y a peut-être des profs géniaux dans ce domaine mais bon, je suis mal tombée sur toutes mes années de scolarité faut croire (quoique j’ai cessée de me rendre à mes cours de sport vers 15 ans et ça ne m’a pas empêchée d’obtenir mon diplôme de high school)

Comme quelqu’un d’autre disait c’est du n’importe quoi demander à des jeunes qui ne font pas de sport à la maison de se mettre à courir soudainement 20-30 min… Les paliers d’entraînement ils en font quoi??
C’est pas logique. Mais bon, ce n’est pas la faute des profs, c’est la façon dont le programme est construit sans doute.
Le seul prof bien que j’ai eu en sport c’était un ancien athlète de cirque, il était super créatif et il ne dévalorisait personne et il savait bien juger de notre état de santé alors il ne demandait pas trop au début à ceux qui avaient plus de difficultés point de vue cardio ou motricité. Il enseignant donc avec intelligence. :)

Yuutsu
Citation:
C'est étrange comme je ne vois pas du tout la scolarité que j'ai eue comme telle que tu la décris (je dis ça sans animosité aucune).

Peut-être parce que je ne suis pas en France lol :D Mais à la lecture des commentaires des autres je trouvais que mon expérience rejoignait celle des autres.
35 ans Vie de... (-_-)' 1067
Perso,

Le cours de sport faisait partie de mes cours préférés. Je n'y étais pas nulle et avais de bonnes notes. La seule discipline dans laquelle j'étais naze, était l'endurance (enfin la course) Plus parce que je n'aime pas ça plutôt que j'étais naze.

En primaire, j'ai eu un prof génial qui savait comment donner envie de faire du sport. En secondaire, mes profs n'étaient pas mauvais non plus. Par contre, je vivais un truc assez marrant. Comme je n'ai pas le physique d'une sportive et que l'on commençait l'année par 4-5 semaines de course.

Lorsqu'on devait faire des équipes pour le foot, basket, on me choisissait en dernière. Après on se rendait compte que je faisais partie des meilleurs dans la classe et là, tout d'un coup, le reste de l'année on m'a à l’œil, ça me faisait toujours marrer :lol:
Souvent, mes profs, me félicitaient pour les efforts que je faisais et la volonté dont je faisais preuve. (Je n'en faisais que pour l'endurance).
B I U