51 ans
à la maison !
10072
reinette81 a écrit:
Je te rappelle qu'on parle sur ce sujet de Poupoule, qui savait écouter et reconnaitre ses sensations AVANT la chirurgie, donc ta définition de "décision compliquée" ne peut pas s'appliquer dans le sujet présent (en plus, je ne vois pas le rapport avec "les décisions", mais bon)...
question mauvaise foi, je pense qu'on est largement à égalité.
reinette81 a écrit:
Quant à non ça n'a pas échoué, ça n'a juste pas suffit... OK va falloir revoir les définitions de l'échec hein, c'est pas un bonnet blanc mais un blanc bonnet tu vois, c'est du pareil au même quoi tu vois :roll:
oui on diminue chirurgicalement un estomac pour modifier des sensations, pour accentuer les sensations, on empêche une personne d'avaler au delà d'une quantité dans le but de limiter ses apports caloriques, pour info c'est quand même ça la chirurgie bariatrique hein, faut arrêter de se voiler la face. Donc quand on a besoin de la chirurgie pour amplifier des sensations et s'aider à prendre des décisions alimentaires c'est court-circuiter des décisions compliquées oui!
Par "sensations", tu parles de la notion de "faim" et de "satiété" ?
Et je ne vois pas en quoi l'opération permet à Poupoule de devoir décider si elle a faim ou non, si elle doit continuer à manger ou non ? Bien sûr que c'est certainement encore plus désagréable d'avoir l'estomac trop plein quand il est plus petit, mais ça n'empêche pas de devoir réfléchir à ce qu'on mange, quand et comment.
Au contraire même.
D'ailleurs, je pense que les échecs de la chirurgie sont souvent dus au fait que la personne n'a pas appris à s'écouter.
Vous me faites rire de tant de mauvaise foi :lol:
vous êtes pathétiques!
Des filles qui se coupent les cheveux en 4 pour comprendre leurs sensations qui comme par hasard interprètent mes paroles au contre emploi de cela, c'est juste risible de mauvaise foi même pas dissimulée! :roll:
décision compliquée= se restreindre alors que vous parlez de RA, vous êtes ridicules. Décision compliquée: écouter et reconnaitre ses sensations pour info!
alors c'est bon rangez les "oh la la je suis choquaayyyyyy" et autres hein, surtout extrêêêêêmement quwaaahhhh! :lol:
vous êtes pathétiques!
Des filles qui se coupent les cheveux en 4 pour comprendre leurs sensations qui comme par hasard interprètent mes paroles au contre emploi de cela, c'est juste risible de mauvaise foi même pas dissimulée! :roll:
décision compliquée= se restreindre alors que vous parlez de RA, vous êtes ridicules. Décision compliquée: écouter et reconnaitre ses sensations pour info!
alors c'est bon rangez les "oh la la je suis choquaayyyyyy" et autres hein, surtout extrêêêêêmement quwaaahhhh! :lol:
Je te rappelle qu'on parle sur ce sujet de Poupoule, qui savait écouter et reconnaitre ses sensations AVANT la chirurgie, donc ta définition de "décision compliquée" ne peut pas s'appliquer dans le sujet présent (en plus, je ne vois pas le rapport avec "les décisions", mais bon)...
question mauvaise foi, je pense qu'on est largement à égalité.
reinette81 a écrit:
Quant à non ça n'a pas échoué, ça n'a juste pas suffit... OK va falloir revoir les définitions de l'échec hein, c'est pas un bonnet blanc mais un blanc bonnet tu vois, c'est du pareil au même quoi tu vois :roll:
oui on diminue chirurgicalement un estomac pour modifier des sensations, pour accentuer les sensations, on empêche une personne d'avaler au delà d'une quantité dans le but de limiter ses apports caloriques, pour info c'est quand même ça la chirurgie bariatrique hein, faut arrêter de se voiler la face. Donc quand on a besoin de la chirurgie pour amplifier des sensations et s'aider à prendre des décisions alimentaires c'est court-circuiter des décisions compliquées oui!
Par "sensations", tu parles de la notion de "faim" et de "satiété" ?
Et je ne vois pas en quoi l'opération permet à Poupoule de devoir décider si elle a faim ou non, si elle doit continuer à manger ou non ? Bien sûr que c'est certainement encore plus désagréable d'avoir l'estomac trop plein quand il est plus petit, mais ça n'empêche pas de devoir réfléchir à ce qu'on mange, quand et comment.
Au contraire même.
D'ailleurs, je pense que les échecs de la chirurgie sont souvent dus au fait que la personne n'a pas appris à s'écouter.