je m'écroule

bah non pas de révelation... mais fait exceptionnel on a pu passer tout le samedi ensemble (voyage pro... on était 60) et un bon moment le soir...

la redescente est dure aujourd'hui.

ça a clashé hier chez lui mais toujorus pas de décision. je n'attends plus rien d'ailleurs, en tout cas pas pour moi... Mais je m'inquiète pour lui, ça pourrit de plus en plus chez lui :roll:

Je sais que c'est facile à dire, mais penses d'abord à toi ma belle.

Julien, c'est bien gentil, mais Kévina, c'est plus important hein!!!!!

oui bien sûr, ce que je veux dire c que moi j'en mourrai pas s'il ne s'en sort pas. Lui, ptêtre bien que si.
Je suis passée dans son bureau en partant, il était au téléphone avec sa mère, les yeux pleins de larmes...

je fonds, j'ai eu un coup de fil, chose qu'il ne fait jamais quand il est chez lui... il me remerciait de l'avoir brassé avec mes réflexions du jour (mine de rien, je le secoue tous les jours) et il avait de me parler, d'entendre ma voix...

ptain les filles je crois qu'on est vraiment amoureux comme des ados, je sais pas comment ça va finir, mal, certainement, mais en attendant, quel bonheur !

C'est comme le sucre ça....Faut juste pas devenir accro au point de ne plus pouvoir s'en passer.......

ben... j'passerai à l'aspartame, hein :lol:

bonne discussion encore... il commence à se rendre compte que ce qu'il fait, c reculer pour mieux sauter... et qu'il court à la cata.

Le truc, c'ets que si sa femme est réellement ce qu'il en dit et que tu nous retranscris, un jour ou l'autre, c'est elle qui va foutre le camp, en prenant tout ce qu'elle a besoin sans se soucier si elle le fout dans la merde ou pas.... Et là aussi il risque de déguster le garçon...

je pense pas... elle a beau avoir 41 ans, elle est incapable d'aller pisser sans lui !

malheureusement tout est vrai, je l'ai vu de l'extérieur bien avant d'être dedans...

mais qd il va vouloir parler sérieusement, elle va péter un boulon, c clair. Parce qu'elle refuse l'idée qu'il y ait un problème alors l'idée de se séparer... pour elle il signé à la vie à la mort, il doit TOUT supporter. Le blème c que là, ça touche les gamins... Mme a décidé que le petit était un enfant tyran... tout ça parce qu'il ose lui répondre sur le même ton qu'elle utilise pour parler à toute sa famille (papa compris : comme à de la merde)

aujourd'hui il a pris une grosse claque au moral... il voudrait se donner encore une chance avec elle, par principe, mais il n'a plus envie... il ne peut admettre l'échec de leur couple... et la, y'a que la thréapie individuelle qui peut l'aider à faire ce deuil, je le sais pour y être passée.

je me demande si c pas moi qui vais réclameer un break pour qu'il puisse vraiment faire le point... sans être contaminé par ses sentiments pour moi, mm si on est persuadés tous les deux que ce sont deux choses distinctes, leur couple à toujours tourné sur trois pattes, j'y suis pour rien.

chéri tout dépité ce matin... Mme a regardé (sans son accord) les photos de la sortie pro de samedi sur lson ordi et m'a vue (il a enlevé la plupart des photos de moi mais pas tout, sinon ça fait louche)
il a eu droit à une belle scène... larmes et tout... mais refus total de discussion.
comme si lui ou moi allaient démissionner pour lui faire plaisir, non mais !
même s'il n'avait rien à se reprocher elle lui pourrirait la vie, il sait plus quoi faire là :roll:

parfois, la fuite est le seul salut mais il ne l'admet pas encore... :roll:

blues des vacances scolaires... je suis chez moi avec mes fils, lui seul se les gèle sur son chantier, il a pas le moral, on s'est un peu appelés hier... il sit plus qpourquoi, pour qui il trime comme ça depuis cinq ans, il a plus envie, il est crevé, il faisait 5 degrés hier... et moi je m'ennuie sans lui. Il me manque... je crois qu'il prendra une décision quand la maison sera habitable (après avoir emménagé, ou juste avant, il sait pas encore s'il va aller jusqu'à y emménager... peut pas se résoudre à vendre... Je milite pour qu'il aille chez la psy parce qu'il ne va pas bien, mais plus une thune.

30 mn à midi... toujours perdu, de mon côté l'anxiété et la colère montent, je dois l'appeler ce soir, j'ai écrit 1 page recto verso pour lui dire mon incompréhension devant son immobilité (pas pour qu'il la quitte, mais qu'il aille voir qqn, psy, conseil conjugal etc...) au lieu de tourner en rond en répétant je sais plus où j'en suis.
je voudrais pouvoir le quitter mais... je peux pas.

une petite mise au point et c reparti... jusqu'à quand, on verra bien.

Thyde, ça va ? toujours au repos ?

Petit moral (une semaine sans nouvelles en vue) et petite santé pour moi (fièvre, retour de mes règles, premières depuis juin... ou pas, un coup j'y crois, un coup non).

hier bonnes discussions, je l'ai vraiment brassé, après superbe déclaration d'amour de sa part, je lui ai fait comprendre qu'on ne pouvait pas continuer comme ça, qu'il devait prendre sa vie en main. Que s'il voulait sauver son couple, il faisait ce qu'il fallait pour : consultation de conseil conjugal, psy pour lui... Que là on était trois malheureux, et qu'il faudra bien trancher un jour où l'autre. Renoncer à résoudre la situation pour faire de mal à personne (elle ou moi) c vain, là on est trois à être mal.Il semble résolu à consulter individuellement, la psy choisie ne sera là que fin novembre mais bon...
On a aussi parlé du fait que s'il supportait tout ce qu'il supporte chez lui, c aussi parce qu'il m'a à côté... et que s'il me perd en tant que chérie mais aussi en tant que meilleure amie, que confidente... le pétage de plombs va pas tarder. Sa culpabilité fait aussi qu'il en prend plein la tronche sans risposter. Une des solutions à mon avis (mais j'en ai pas le courage et lui non plus) c qu'on fasse un break, il ne tiendra plus très longtemps sans mon soutien.

Il voudrait aller en thérapie de couple pour rétablir le dialogue... enfin établir plutôt, parce que depuis le début c pas ça. Quitte à ce que le résultat des courses soit une séparation, mais que ce soit le fruit d'une concertation. Je pense qu'il se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude, qqn qui ne lui a jamais rien donné, qui n'a jamais voulu établir le contact ne le fera pas plus en présence d'un tiers. Tout ce qu'il a à gagner c qu'elle lui balance son infidélité à la tête et le fasse revenir au bercail en courbant l'échine. Comme me disait ma psy avec mon mari, vous ne devez pas attendre qu'il comprenne ou qu'il accepte pourquoi vous partez, ça n'arrivera pas, jamais, et vous y laisserez votre peau. A un moment donné, c chacun pour sa peau...

Parallèlement à ça leurs soucis d'argent s'aggravent de jour en jour, et Mme ne se sent toujours pas concernée. Elle se contente de tirer la gueule lorsqu'il prend des gardes supplémentaires (pour boucher les trous, payer les agios). Je me retiens de dire ce que j'en pense mais vraiment, si j'étais juste une copine, je me lâcherais :roll: les autres collègues qui sont au courant hallucine de ce qu'il accepte de sa femme (sans savoir pour nous, au pire qq suppositions).

Bref je pense que la solution on la connait tous les deux : faire un break, qu'il prenne sa vie en main (thérapie, conseil conjugal) pour savoir s'il veut rester avec elle ou non. En fait il sait que non au fond, mais n'arrive pas à renoncer à ce qu'ils ont construit matériellement (même si pour le moment c une grosse galère) et surtout, à ne plus voir ses enfants autant qu'avant (il voudrait une garde partagée mais elle ne voudra pas, c sûr).

Voilà l'état de nos réflexions...

bon ben... je comprends plus rien...

avant, il m'appelait pas le WE, jamais ou vraiment si on s'était quittés le vendredi dans une sale ambiance...
y'a trois semaines, un SMS
y'a 2 semaines, un vrai coup de fil
Hier, il m'appelle le matin, j'peux passer, et 5 mn après il était chez moi... pas longtemps OK, mais que conclure de cette escalade, de cette prise de risque croissante ? :roll:

bon ma Thydounette,je dois me faire du mouron ou pas, pour ton silence ? :oops: