45 ans
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PrudenceN a écrit:
Toad a écrit:
Que se passera t il si, parce que la fessée est interdite, l'enfant se prend une punition "morale" plus lourde ?
Aïe! Aïe! Aïe! C'est bien l'argument qui me fait le plus réfléchir. Effectivement c'est un gros danger qu'à la place de la fessée certains parents humilient plus violemment leur enfant ou fassent quelque chose ayant de plus graves conséquences psychologiques pour l'enfant.
Le but c'était de favoriser une éducation sans violence, quelles qu'elles soient, pas de déplacer la violence. C'est un risque. Je vais y réfléchir plus longuement.
ben voilà. Si Mme Antier avait proposé une loi indiquant que toute violence, physique ou morale, entraînant le mal-être d'un enfant était interdite, là j'aurais -presque - dit oui. Je resterai quand même dubitative sur les moyens appliqués pour contrôler ces violences mais rien que le fait de dire que violenter un enfant ce n'est pas seulement le tabasser ni même lui mettre une claque sur les fesses, qu'il faut faire attention, parce que les gestes et les mots de chaque parent peut avoir des conséquences sur l'enfant, ça pour moi c'est un message à faire passer. Pas forcément par une loi mais rien qu'un débat public et un buzz comme savent si bien le faire nos journalistes permettraient aux parents de s'interroger, de se poser des questions.
Après, la limite... Dire "non" à un enfant peut être ressenti par celui ci comme une violence. Ce n'est pas quelque chose de facile à jauger sans connaitre l'enfant, chaque enfant. C'est pour cela que légiférer, cela me semble très compliqué.
PrudenceN a écrit:
J'ai vu que le sujet avait remonté mais je ne regarderai que ce soir. Je n'ai pas un super moral en ce moment et ce sujet était sensible pour moi. Je regarderai tranquillement à la maison ;)
Toad a écrit:
Que se passera t il si, parce que la fessée est interdite, l'enfant se prend une punition "morale" plus lourde ?
Aïe! Aïe! Aïe! C'est bien l'argument qui me fait le plus réfléchir. Effectivement c'est un gros danger qu'à la place de la fessée certains parents humilient plus violemment leur enfant ou fassent quelque chose ayant de plus graves conséquences psychologiques pour l'enfant.
Le but c'était de favoriser une éducation sans violence, quelles qu'elles soient, pas de déplacer la violence. C'est un risque. Je vais y réfléchir plus longuement.
ben voilà. Si Mme Antier avait proposé une loi indiquant que toute violence, physique ou morale, entraînant le mal-être d'un enfant était interdite, là j'aurais -presque - dit oui. Je resterai quand même dubitative sur les moyens appliqués pour contrôler ces violences mais rien que le fait de dire que violenter un enfant ce n'est pas seulement le tabasser ni même lui mettre une claque sur les fesses, qu'il faut faire attention, parce que les gestes et les mots de chaque parent peut avoir des conséquences sur l'enfant, ça pour moi c'est un message à faire passer. Pas forcément par une loi mais rien qu'un débat public et un buzz comme savent si bien le faire nos journalistes permettraient aux parents de s'interroger, de se poser des questions.
Après, la limite... Dire "non" à un enfant peut être ressenti par celui ci comme une violence. Ce n'est pas quelque chose de facile à jauger sans connaitre l'enfant, chaque enfant. C'est pour cela que légiférer, cela me semble très compliqué.
PrudenceN a écrit:
J'ai vu que le sujet avait remonté mais je ne regarderai que ce soir. Je n'ai pas un super moral en ce moment et ce sujet était sensible pour moi. Je regarderai tranquillement à la maison ;)