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Le féminisme

39 ans 3267
wildtendercat a écrit:
LovelyLexy a écrit:
La culture du viol concerne le monde entier, y compris les universités américaines. Ta mauvaise foi et ton obscurantisme t'empêchent donc d'aller  
voir les sites que je t'ai donnés?
Et Angia résume bien l'expérience de Milgram, dont voici une description plus détaillée. Quoique je doute que tu le lises car ton jugement et ton expérience perso font office de référence absolue... http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
J'ajouterai que l'expérience de Milgram a été ré appliquée dans un faux jeu télévisé ( les gens croyaient participer à un jeu) et ils ont autant "éléctrocuté" les complices...


Je comprend mieux la référence aux Danaïdes, tu me laisses parler et tu t'assures de ne pas m'épargner par la suite...

Je vois ta conception du dialogue, je l'ouvre une fois sur le féminisme et me voilà obscurantiste, de mauvaise foi et m'érigeant en référence absolue (rien que ça...).
Effectivement ce n'est pas en réagissant comme ça que tu vas me convaincre d'embrasser la cause.

Et désolé, la dernière injonction de l'autorité était : "vous n'avez pas le choix, faites-le". Si ce n'est pas un ordre ça.
Bon allez je pinaille. :lol:


Je ne t'épargne pas en effet car je t'ai donné des références objectives que tu ne prends pas la peine de consulter ( site, article, tumblr) et tu ne cesses de nous donner ton impression perso... Une argumentation doit comporter des arguments objectifs.
Et non, ils n'ont évidemment pas reçu d'ordres.
Enfin, je parlais du tonneau des Danaïdes car la tâche est sans fin vu que peut te challent les arguments et références données...
52 ans 35 10308
wildtendercat a écrit:
Et désolé, la dernière injonction de l'autorité était : "vous n'avez pas le choix, faites-le". Si ce n'est pas un ordre ça.

Et pourtant ils avaient le choix. Qu'est ce qui se serait passé si ils avaient refusé? Rien. Enfin, rien pour eux, et du bénéfice pour la personne qu'ils croyaient électrifier. Et pourtant ils se sont soumis à cette autorité qui n'en était absolument pas une. C'est bien justement ce que l'expérience cherchait à étudier : est-ce que des gens, avec un certain conditionnement, sont capables de renoncer à leurs valeurs morales pour se conformer à une pression sociale (sociale au sens large) alors même qu'ils n'y sont pas contraints et qu'il n'y aura pas de conséquences pour eux si ils ne le font pas? Ce qui a surpris, c'est l'intensité de ce comportement, qui a été bien plus répandu que prévu parmi les sujets de l'expérience.
39 ans 3267
Angia a écrit:
wildtendercat a écrit:
Et désolé, la dernière injonction de l'autorité était : "vous n'avez pas le choix, faites-le". Si ce n'est pas un ordre ça.

Et pourtant ils avaient le choix. Qu'est ce qui se serait passé si ils avaient refusé? Rien. Enfin, rien pour eux, et du bénéfice pour la personne qu'ils croyaient électrifier. Et pourtant ils se sont soumis à cette autorité qui n'en était absolument pas une. C'est bien justement ce que l'expérience cherchait à étudier : est-ce que des gens, avec un certain conditionnement, sont capables de renoncer à leurs valeurs morales pour se conformer à une pression sociale (sociale au sens large) alors même qu'ils n'y sont pas contraints et qu'il n'y aura pas de conséquences pour eux si ils ne le font pas? Ce qui a surpris, c'est l'intensité de ce comportement, qui a été bien plus répandu que prévu parmi les sujets de l'expérience.


Très bien résumé. De plus, l'histoire allemande a prouvé qu'il était possible de refuser ( cf le réseau de la Rose Blanche)
51 ans Out of nowhere 3834
LovelyLexy a écrit:
wildtendercat a écrit:
LovelyLexy a écrit:
La culture du viol concerne le monde entier, y compris les universités américaines. Ta mauvaise foi et ton obscurantisme t'empêchent donc d'aller voir les sites que je t'ai donnés?
Et Angia résume bien l'expérience de Milgram, dont voici une description plus détaillée. Quoique je doute que tu le lises car ton jugement et ton expérience perso font office de référence absolue... http://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Milgram
J'ajouterai que l'expérience de Milgram a été ré appliquée dans un faux jeu télévisé ( les gens croyaient participer à un jeu) et ils ont autant "éléctrocuté" les complices...


Je comprend mieux la référence aux Danaïdes, tu me laisses parler et tu t'assures de ne pas m'épargner par la suite...

Je vois ta conception du dialogue, je l'ouvre une fois sur le féminisme et me voilà obscurantiste, de mauvaise foi et m'érigeant en référence absolue (rien que ça...).
Effectivement ce n'est pas en réagissant comme ça que tu vas me convaincre d'embrasser la cause.

Et désolé, la dernière injonction de l'autorité était : "vous n'avez pas le choix, faites-le". Si ce n'est pas un ordre ça.
Bon allez je pinaille. :lol:


Je ne t'épargne pas en effet car je t'ai donné des références objectives que tu ne prends pas la peine de consulter ( site, article, tumblr) et tu ne cesses de nous donner ton impression perso... Une argumentation doit comporter des arguments objectifs.
Et non, ils n'ont évidemment pas reçu d'ordres.
Enfin, je parlais du tonneau des Danaïdes car la tâche est sans fin vu que peut te challent les arguments et références données...

Tu voudrais qu'en quelques instants j'ingurgite tout ça et en plus tu casses celui que tu cherches à faire "progresser".
Mon dieu c'est pas très pédagogique tout ça!
C'est bien ce que je disais à propos du tonneau, à quoi bon commencer puisque tu penses d'emblée que je suis un client irrécupérable.
39 ans 3267
J'ai parlé du tonneau initialement car le féminisme et ses extrêmes étant vaste il me fallait un point de départ. Je t'ai donné trois articles que j'ai pris le temps de chercher, et tu sembles les ignorer royalement; d'où ma colère et mon "cassage". A propos, pourrais tu cesser les attaques sur mon travail, ce n'est pas la première fois et tu ignores l'enseignante que je suis.
51 ans Out of nowhere 3834
LovelyLexy a écrit:
J'ai parlé du tonneau initialement car le féminisme et ses extrêmes étant vaste il me fallait un point de départ. Je t'ai donné trois articles que j'ai pris le temps de chercher, et tu sembles les ignorer royalement; d'où ma colère et mon "cassage". A propos, pourrais tu cesser les attaques sur mon travail, ce n'est pas la première fois et tu ignores l'enseignante que je suis.

A colère, colère et demie.
Bon alors je ne verrai plus que Lovely en tant que femme (j'espère que ça te va). Bonne nuit.
39 ans 3267
wildtendercat a écrit:
LovelyLexy a écrit:
J'ai parlé du tonneau initialement car le féminisme et ses extrêmes étant vaste il me fallait un point de départ. Je t'ai donné trois articles que j'ai pris le temps de chercher, et tu sembles les ignorer royalement; d'où ma colère et mon "cassage". A propos, pourrais tu cesser les attaques sur mon travail, ce n'est pas la première fois et tu ignores l'enseignante que je suis.

A colère, colère et demie.
Bon alors je ne verrai plus que Lovely en tant que femme (j'espère que ça te va). Bonne nuit.


Vois moi en tant que personne, ça suffira
Et lis les articles.
38 ans 1547
LovelyLexy a écrit:
Les étudiants n'ont reçu aucun ordre. Papille t'a cité l'expérience de Milgram pour te montrer que 1) la nature humaine est souvent surprenante dans le mauvais sens et 2) là aussi les gens ont été sceptiques dans un premier temps.


Oui, c'est dans ces sens là que j'avais pensé à l'expérience de Milgram en vous lisant.

Wildtendercat, je n'avais pas pensé au contexte universitaire, qui, il me semble, contribuait au facteur d'autorité dans l'expérience de Milgram. Il me semble qu'ils avaient essayé d'isoler cette variable en faisant passer l'expérience dans un lieu sans prestige, voire pas très sympa. A vérifier si on s'intéresse à cette expérimentation précisément.

wildtendercat a écrit:
La question est : la virulence, voire la violence (au moins dans les propos) est-elle nécessaire par rapport à la cause à défendre?
Je crois que tu te poses les bonnes questions.


Je n'ai pas compris ce que tu veux dire et à quoi tu répondais dans mon message -un peu long- en disant cela.

Angia a écrit:
papille a écrit:
Après, je ne vois pas forcément le féminisme comme un combat mais comme un mouvement de pensée qui amène certains de ses partisans à se positionner socialement en faveur de leurs idées (donc pour moi certains "militent", mais être féministe ne veut pas dire militer et/ou considérer que c'est le plus important).

Je suis assez (voire beaucoup) d'accord avec ce point de vue, en ce qui me concerne. Je voulais répondre quelque chose de ce genre à la dernière intervention de Sibell. Et merci Papille d'être aussi "honnête" dans tes interventions, c'est très rafraichissant (et ça pousse à réfléchir) que tu livres aussi sincèrement tes interrogations et les chemins de ta réflexion.
Et mamykro, déconne pas ;), j'aime beaucoup te lire, ça me manquerait si tu partais. :kiss:


Merci Angia. C'est aussi parce que ça m'intéresse de comprendre qu'est-ce qui me dérange dans le fait de m'y pencher de plus près.

Suite à mon message, j'ai commencé la lecture d'un texte que Mamykro - que j'espère bien relire au plus tôt ici - avait conseillé sur le forum. ("Beauté fatale") A un moment, sans que ça soit le contenu principal de son propos, l'auteur évoque cette approche du féminisme, non sans une certaine critique d'après mon impression, comme une façon de l'édulcorer de sa réalité et de l'approcher comme une forme de "développement personnel".

Mais je ne vois pas comment je pourrais me positionner activement en faveur d'idées que je méconnais totalement.(ni même me positionner à leur encontre, d'ailleurs - ce qui est différent d'avoir un avis ou un ressenti, à mon sens).
51 ans Out of nowhere 3834
papille a écrit:

wildtendercat a écrit:
La question est : la virulence, voire la violence (au moins dans les propos) est-elle nécessaire par rapport à la cause à défendre?
Je crois que tu te poses les bonnes questions.


Je n'ai pas compris ce que tu veux dire et à quoi tu répondais dans mon message -un peu long- en disant cela.



Pour répondre à ton message, j'ai eu l'impression en te lisant que l'intérêt, voire l'attrait que tu pourrais avoir pour le féminisme était contrebalancé par la peur que tu avais de te laisser gagner par de mauvais sentiments (qui s’appuieraient justement sur cette cause, le féminisme).
Et que le féminisme t'arracherait encore un peu plus à ta culture dont tu sembles t'être extraite.

Ne te demandes-tu pas si le féminisme sera "constructeur" ou destructeur pour toi?
34 ans 172
Ce post me rappelle tristement la conversation que j'ai eue hier soir, avec quelques amis. Quelques personnes, des hommes, n'ayant jamais été confrontés au sexisme, ne connaissant aucun mouvement féministe (même de nom), pas du tout au fait des combats du féminisme actuels ni des mécanisme psychosociaux qui conditionnent la condition actuelle de la femme, d'ailleurs pas du tout au fait de la condition actuelle de la femme tout court apparemment, qui m'expliquaient pourquoi les féministes "exagèrent", pourquoi le féminisme est inutile, ne devrait pas s'appeler féminisme, n'a aucun fondement, etc. Et pour le coup j'avoue que moi aussi je suis lasse, de passer ma vie à prêcher dans le vide et à répéter en boucle des arguments qui ne seront (quasiment... Et c'est ce qui fait que je continue !) jamais entendus.

Du coup je vous dis merci les filles, je suis soulagée de trouver sur vlr certaines personnes qui comprennent les problèmes et luttent pour l'égalité, qu'elle concerne un nom sur un papier, un salaire ou la répartitions des tâches ménagères, même si c'est fou que ça ne soit pas le cas de tous... C'est tout de même incroyable qu'en France en 2013, on considère normale une inégalité sous prétexte qu'on la trouve pas bien grave... Drôle de mentalité.
39 ans 2879
robinetterie a écrit:

Du coup je vous dis merci les filles, je suis soulagée de trouver sur vlr certaines personnes qui comprennent les problèmes et luttent pour l'égalité, qu'elle concerne un nom sur un papier, un salaire ou la répartitions des tâches ménagères, même si c'est fou que ça ne soit pas le cas de tous... C'est tout de même incroyable qu'en France en 2013, on considère normale une inégalité sous prétexte qu'on la trouve pas bien grave... Drôle de mentalité.

Il y a de plus en plus de femmes qui s'expriment, qui revendiquent, et internet n'y est je crois pas pour rien dans ces prises de conscience et dans la circulation d'initiatives féministes.

Des résistances, des incompréhensions, du conservatisme, il y en a et il y en aura toujours, mais l'important c'est qu'il y ait en face de plus en plus de compréhension, de pressions, de revendications féministes. Et je crois que c'est le cas, que ça travaille la société au corps.
J'entends beaucoup parler du fait que le combat féministe n'est pas fini. A la radio, dans la presse, à la télévision ; je lis des papiers de magazines "féminins" qui encouragent les femmes à se rendre compte qu'elles n'ont pas à tout assumer mais à pousser leur couple et plus largement la société au partage véritable et à l'égalité.

Bref, n'écoutons pas le quidam aujourd'hui, il est imbuvable. Ecoutons le dans 20 ans, quand il aura été pénétré par ces idées qui circulent.
Quand je pense à comment la société a considéré les homosexuels par le passé, et aux progrès faits par le quidam qui ne se sent pas concerné (sauf des irréductibles, mais bon, je pense qu'avec le renouvellement des générations ça s'amenuise) je trouve ça positif et je pense que le féminisme est sur la même voie.
39 ans 3267
C'est tout à fait vrai, Okapi, mais il faut aussi rester vigilant/e et actif/active... Les droits acquis sont encore récents et donc fragiles.
J
43 ans Paris 1842
Je rentre d'un mariage, et je découvre ces pages de discussion.

En premier lieu, je suis féministe, et je suis souvent en désaccord avec d'autres féministes. Car le féminisme est multiple, qu'en plus des courants il y a les réflexions persos, et que c'est ce qui est intéressant.

Par conséquent, je n'aime pas que l'on me dise que l'on n'aime pas le féminisme, comme un bloc. Quel féminisme? Quels pensées dans le féminisme? Pourquoi?

Je n'aime pas cela, parce que je trouve cela paresseux. Je pourrais me dire que je n'en ai rien à foutre de la paresse des autres, certes, mais dès lors que l'on tente de discuter avec moi, je trouve fatigant que l'on le fasse sans lire et tenter de s'informer.

Le ressenti est intéressant pour comprendre la façon dont le féminisme est perçu. En revanche, très honnêtement, je n'en ai rien à faire quand le ressenti ne cherche qu'à excuser l'incapacité à prendre en compte un fait objectif communément admis- par exemple la définition- large- du féminisme telle qu'on la trouve dans le dictionnaire.

Enfin, le plus important: pourquoi suis-je féministe?

Effectivement, je vis en Europe, je suis chanceuse, j'ai des droits reconnus légalement. Et y a pire.

Oui, mais...

Les manifestations de sexisme me semblent quotidiennes, et je ne vois pas pourquoi je les accepterais.

Ce n'est pas juste le nom, le mademoiselle, ou le viol. C'est le fait que je ne vois pas pourquoi, plus diplômée que mes confrères (j'ai un doctorat), on se tourne vers moi, lors d'une réunion, lorsqu'il s'agit de servir un café. Pourquoi, à une conférence professionnelle, où il n'y a que des avocats, on me désigne, quand je demande la parole, comme "la jeune fille avec le beau sourire". On n'a pas désigné mon confrère jeune diplômé comme le "beau gosse au jolies bouclettes" hein. Pourquoi on me renvoie le congés mat et les enfants comme obstacles de carrière: un enfant cela se fait à deux. En quel honneur les femmes prennent elles la majorité des congés parentaux et des jours pour enfants malades?

Je pourrais multiplier les exemples. Ce qui m'agacent, c'est que ce sont des réflexes sociétaux, extérieurs à moi, indépendants de mes compétences, et que je les subis, au quotidiens. Certes, pris indépendamment, c'est moins grave que l'excision. Mais comme je risque assez peu d'être excisée, je me contente, bêtement, des combats qui touchent, quotidiennement, ma vie privée et ma vie pro, et celles de mes compatriotes.
35 ans 1240
Justdontknow a écrit:
Je rentre d'un mariage, et je découvre ces pages de discussion.

En premier lieu, je suis féministe, et je suis souvent en désaccord avec d'autres féministes. Car le féminisme est multiple, qu'en plus des courants il y a les réflexions persos, et que c'est ce qui est intéressant.

Par conséquent, je n'aime pas que l'on me dise que l'on n'aime pas le féminisme, comme un bloc. Quel féminisme? Quels pensées dans le féminisme? Pourquoi?

Je n'aime pas cela, parce que je trouve cela paresseux. Je pourrais me dire que je n'en ai rien à foutre de la paresse des autres, certes, mais dès lors que l'on tente de discuter avec moi, je trouve fatigant que l'on le fasse sans lire et tenter de s'informer.

Le ressenti est intéressant pour comprendre la façon dont le féminisme est perçu. En revanche, très honnêtement, je n'en ai rien à faire quand le ressenti ne cherche qu'à excuser l'incapacité à prendre en compte un fait objectif communément admis- par exemple la définition- large- du féminisme telle qu'on la trouve dans le dictionnaire.

Enfin, le plus important: pourquoi suis-je féministe?

Effectivement, je vis en Europe, je suis chanceuse, j'ai des droits reconnus légalement. Et y a pire.

Oui, mais...

Les manifestations de sexisme me semblent quotidiennes, et je ne vois pas pourquoi je les accepterais.

Ce n'est pas juste le nom, le mademoiselle, ou le viol. C'est le fait que je ne vois pas pourquoi, plus diplômée que mes confrères (j'ai un doctorat), on se tourne vers moi, lors d'une réunion, lorsqu'il s'agit de servir un café. Pourquoi, à une conférence professionnelle, où il n'y a que des avocats, on me désigne, quand je demande la parole, comme "la jeune fille avec le beau sourire". On n'a pas désigné mon confrère jeune diplômé comme le "beau gosse au jolies bouclettes" hein. Pourquoi on me renvoie le congés mat et les enfants comme obstacles de carrière: un enfant cela se fait à deux. En quel honneur les femmes prennent elles la majorité des congés parentaux et des jours pour enfants malades?

Je pourrais multiplier les exemples. Ce qui m'agacent, c'est que ce sont des réflexes sociétaux, extérieurs à moi, indépendants de mes compétences, et que je les subis, au quotidiens. Certes, pris indépendamment, c'est moins grave que l'excision. Mais comme je risque assez peu d'être excisée, je me contente, bêtement, des combats qui touchent, quotidiennement, ma vie privée et ma vie pro, et celles de mes compatriotes.



Ça résume impeccablement mon ressenti ! Merci Justdontknow !
49 ans région parisienne 5831
+1 Justdon'tknow!

(et ça commence à être HS, donc je le dis tout bas, mais: Papille, est-ce que tu t'es posée la question de savoir pourquoi tu voudrais être jolie? Qu'est-ce que ça t'apporterait? Qu'est-ce que ça changerait pour toi? Est-ce que tu crois que cela ne pourrait être que positif? Bref, on n'est plus trop dans le féminisme, là, faudrait ouvrir un autre sujet ;) )
B I U